LA FIN DU MONDE EST POUR DIMANCHE
LA FIN DU MONDE EST POUR DIMANCHE

Ce n’est pas n’importe quelle nuit pour François… C’est celle qui clôture sa fête de départ à la retraite… Alors que Kévin, son fils unique, se propose de ranger après le départ des derniers invités, François ne veut pas tourner la page. Il a des choses à dire à Kévin, la trentaine, sur le temps qui passe, sur la mort, sur le bonheur, sur ses souvenirs… Kévin doit savoir que la vie n’est qu’une longue semaine qui s’étire et qui fi nit toujours par un dimanche. Père et fi ls ne sont pas dupes de ce testament décalé, grinçant et pudique. Dans leur famille monoparentale, ils se redécouvrent l’un l’autre sous un jour nouveau et se partagent enfin les confidences refoulées. La joie de vivre est restée intacte, le temps est suspendu…

LE PITCH

Ce n’est pas n’importe quelle nuit pour François…

C’est celle qui clôture sa fête de départ à la retraite.

Alors que Kévin, son fils unique, se propose de ranger après le départ des derniers invités, François ne veut pas tourner la page.

Il a des choses à dire à Kévin, la trentaine, sur le temps qui passe, sur la mort, sur le bonheur, sur ses souvenirs,…

Kévin doit savoir que la vie n’est qu’une longue semaine qui s’étire et qui finit toujours par un dimanche.

Père et fils ne sont pas dupes de ce testament décalé, grinçant et pudique.

Dans leur famille monoparentale, ils se redécouvrent l’un l’autre sous un jour nouveau et se partagent enfin les confidences refoulées. La joie de vivre est restée intacte, le temps est suspendu.

On vit soixante dix minutes d’attachement sincère, mutuel et aimant. Une vie réelle de théâtre contemporain jusqu’au lever du soleil.

NOTE D'INTENTION

D’après François Morel, La fin du monde est pour dimanche.
La vie c’est comme une semaine. Lundi, mardi, mercredi, jeudi….
Et moi j’en suis où ?

Face à ce questionnement j’ai rêvé longtemps de le porter à la scène sous la forme d’un dialogue, d’une rencontre entre un père et son fils.

Proposer une immersion dans cette relation particulière. Une relation miroir teintée de non-dits ? Une planche à griffes ? Un marshmallow ? Les trois mon capitaine !

En tout cas donner corps au regard tendre et complice d’un père pour son fils, plein d’intransigeance, de pudeur, sur le temps qui s’écoule, mais aussi aux difficultés à se dire, à l’immense désir de s’aimer. In fine, à la joie de pouvoir partager.

J’ai donc demandé à Annie Baudot Guttin une adaptation du texte de François Morel pour deux comédiens, afin de partager ce regard décalé, cette poésie portée parfois avec fausse naïveté par François Morel sur notre monde, à travers ses spectacles et ses chroniques. Une posture chère à notre compagnie.

ÉQUIPE ARTISTIQUE
Annie BAUDOT GUTTIN / Adaptation
Céline BARBARIN / Mise en scène
Jean-Claude VIOU / Jeu
Adrien CIAMBARELLA / Jeu
Olivier RICHARD / Création lumières et régie
Production Cie Les Pas Sages, avec le soutien du Chok-Théâtre (St Etienne) et de la ville de St Genest Lerpt
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